antoine genel
Avr 2010

Triste printemps, dans le monde perdu

Promis, c’est la dernière séance en noir et blanc de l’année. Le noir et blanc, ça peut sembler beaucoup trop déprimant, mais ça peut aussi en dire beaucoup sur des sentiments. La mélancolie, souvent, mais pas seulement: la sérénité, aussi, comme dans les paysage d’Ansel Adams. Et puis le bonheur et la joie de vivre, comme dans chaque image d’Henri Cartier-Bresson. Et puis à travers cette séance, le noir et blanc a aussi le mérite de vous montrer d’une part qu’il fait parfois bien moche en Californie (mais si, ça vous rassure), et d’autre part que même quand il fait ce temps, la plage est magnifique et surprenante…